D’abord, soyons clair : je ne suis pas religieux pour deux sous.

J’ai beau être baptisé, communié, sur-communié, j’ai tout laissé tomber vers l'âge de douze ans et les années n’ont fait que consolider mon rejet de toute religion organisée.

Ça n'a rien à voir et je considère donc que je n'ai pas renié mon engagement.

J'ai découvert ce type avant-hier dans cette vidéo. C'est devenu mon être humain préféré. (J'espère ne pas découvrir que c'est une crapule... ll n'en a pas l'air. Vous me direz.)

Arrivé à la page cent du roman que j'écris... oh... depuis quinze ans.

Aux Franciscaines pour travailler. Je vois qu'il y a une installation immersive qui commence dans 5 minutes. Comme j'ai une copine qui est là-dedans et qu'elle n'a encore jamais réussi à me convaincre que ça avait le moindre intérêt, je pose mon sac à la consigne et j'y vais. On verra bien.

J'utilise l'appareil photo de mon téléphone pour prendre des photos de mon fils ou – comme vous le savez – beaucoup trop de photos de plage. Hier soir, j'ai découvert la fonction photo de nuit qui est assez impressionnante.

Contre toute attente, créer la vie est facile, rapide et gratuit :

On filme des chauve-souris pendues par les pieds en retournant la caméra et bam ! Nous voilà un mercredi soir dans une boîte de nuit allemande des années 80 :

Deux pilliers du bouddhisme explorés récemment par la lecture du merveilleux Seeing that Frees de (feu) Rob Burbea, en écoutant les conférences de James Low que j’ai découvert il y a peu et, infatigablement, par les enregistreme

Bien sûr, vous connaissez. Parce que vous êtes cools, vous. Et personne me dit rien à moi.

J’essaye mais j’arrive pas !

Deux vidéos vues à plusieurs années d'écart mais qui m'ont marqué de façon similaire.

La première, "Voyage dans la Galaxie d'Andromède", m'a fait prendre conscience de la taille de l'univers. En bon ingénieur, je savais que c'était grand... mais pas à ce point. Regardez-la, c'est un mini documentaire passionnant qui bouleverse les échelles d'espace et de temps.

On oublie trop vite les gens qui nous facilitent la vie.

On pense trop longtemps à ceux qui nous posent problème.

Dans la série « j’ai retrouvé une mine de dessins de confinement que je poste quand je suis pressé », voici un dessin de confinement que je poste parce que je suis pressé :

Souvent, quand je regarde un documentaire, je me demande comment des gens qui prétendent être si atteints, si déprimés, parfois si malveillants, peuvent sembler si ouverts, si sincères et avoir autant de recul au moment de raconter leur histoire. L'hystérique est parfaitement calme. Le menteur compulsif raconte toute la vérité.

Oui, désolé : je ne peux pas m'empêcher. Mais à chaque fois, je suis épaté.

Reçu cette semaine, à un moment particulièrement opportun (si seulement je croyais aux signes) :

En entreprise, bien sûr, c’est une qualité. On en veut à tous les étages.

Quand je trouverai le temps, j'écrirai un article récapitulatif sur mon approche de la productivité et sur le chemin que j'ai parcouru dans ce domaine.

J'ai décidé de ne pas renouveler mon abonnement au New York Times et au New Yorker pour voir ce que ça fait. Ne pas m'engoncer dans mes habitudes de lectures et découvrir de nouvelles pistes.

Un autre de mes hobbies sans avenir : l'art génératif. Je programme en c avec la librairie Cairo pour faire des petits dessins. Je fais ça certains dimanches après-midi au lieu de bricoler.

Vous avez remarqué comme la musique de 2001 L'Odyssée de l'Espace de Kubrick rend tout étrange ? Non ? Et bien moi si :

La pièce m'avait tellement plu que je leur ai fait une petite captation à l'arrache. Extrait :

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